dimanche 25 mai 2014

  Tu coules lentement dans mes veines, tu me tues doucement. Chaque jour est une torture éphemere qui joue avec nes nerfs. C'est une guerre contre moi. Une guerre contre toi, démence. Je suis folle, folle à hurler. Je lutte vailement comme un guerrier vaillant. Je suis de plus en plus faible, décharnée comme une poupée désarticulée. Tu gagnes, on arrive au bout, mes limites s'arretent là. Empare toi de moi, corps et âme. Je m'oublierai dans l'abîme de ton cœur inexistant.
textes de jillian coadou
images de robin prud'hom

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire