vendredi 30 mai 2014

Pauvre gamine qui marche sans savoir où aller. Elle se perdra dans l'abime du temps et la douleur. 
Pauvre gamine au regard terriffié qui ne fait que pleurer. Ses larmes ignorées qui coulent trop souvent le long de ses joues roses d'enfant innocente. 
Pauvre gamine au cœur brisé qui ne connaît plus que la douleur et la rancœur. Elle ignore son cœur pour frôler le bonheur.
Pauvre gamine aux poignets abîmés qui se blesse en espérant une vie meilleure. Elle provoque la mort sans jamais aller plus loin.
Pauvre gamine qui s'endort seule en ayant peur du noir. Plus personne n'est là pour la border.
Pauvre gamine endormie dans la souffrance et la faiblesse. Rien ne la réveillera, jamais.
Pauvre ange déchue qui s'est éteind. Le Paradis t'acceuille bras ouverts.


textes de jillian coadou
images de robin prud'hom








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jeudi 29 mai 2014

Amour ou haine ? Une question qui reste sans réponse. Tu m'insultes et tu me dis "Je t'aime.". Tu m'évites et tu cherches mon regard. Tu m'oublies et tu reviens. Je ne te comprend plus. Alors arrêtes de croire que tu es l'une de mes raisons de vivre. Arrêtes de croire que j'ai besoin de toi pour survivre. Arrêtes de croire que je t'aime. Je t'insulte pas mais mec t'emballe pas, c'est juste du respect. Du respect que j'ai encore après tout ce que tu as pu m'infliger. Les coups bas, les insultes, les provocations, je n'oublie rien mais je pardonne juste. Continues si tu veux mais un jour, je ne te pardonnerais plus et c'est la que tu te rendra compte de la douleur eprouvée tant d'années. Car l'ignorance peut être la pire torture quand la solitude vous entoure.
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mercredi 28 mai 2014

La ruelle est sombre, le silence devient inquiétant. De légers pas résonnent, la terreur s'empare alors de moi. Sans réfléchir, je mets à courir, à courir aussi vite que je peux pour fuir cet endroit qui me donne des frissons. Dans ma course effrénée, je sens une forte pluie s'abattre sur moi. J'arrive épuisée et trempée dans un vieux bâtiment abandonné depuis longtemps. L'intérieur est saccagé, le froid me transit. Je fais quelques pas et m'assois dans un coin. Je décide de rester la en attendant que tout danger soit écarté. Je l'ai vu, cet homme qui m'observe depuis peu. Oh j'ai peur, tellement peur. Dans ma solitude, les larmes coulent de mes yeux. Pourquoi moi ? Qu'est ce que j'ai bien pu faire de si mal ? Autant de questions qui resteront sans réponses. Tout mon passé n'a eté que douleur, peur, larmes et sang. La mort serait une délivrance, le Paradis après l'Enfer.
En pensant ces mots, ma main se glisse dans ma poche droite et en sort un couteau. Celui que je garde toujours avec moi et que je cache sous mon oreiller avant de m'endormir. Et je m'entaille les veines, la douleur est si vive et le sang si rouge. Je voudrais laisser une preuve de mes maux. Je me redresse, plus qu'affaiblis, je tague le mur avec mon sang. Un mensonge tant répété ; "I'm fine. " ; qui se cache sans moindre difficultés. Prise de violentes convulsions, je sens mon corps toucher terre. Est ce la fin de ma vie ? Est ce la fin d'une désespérée ?

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lundi 26 mai 2014



Elle dansait sous la pluie. ses larmes confondues avec ces perles d'eau glacées qui inondaient son visage de poupée, elle paraissait ivre. Ivre de haine, ivre de colère. De ses lèvres mordus jusqu'au sang s'échappait parfois un peu de fuméegrisâtre comme si elle laissait s'envoler le peu d'espoir d’être heureuse un jour. Elle se droguait en espérant planer afin d'oublier qui elle était. La Condamnée. Elle dansait avec la mort au risque de mourir entièrement. Une part d'elle était déjà morte et pourtant elle continuait son combat. Mais malheureusement à trop vouloir s'oublier, elle était l'ombre d'elle même. Une ombre qui dansait jusqu'à l’épuisement de son être. Elle dansait sous la pluie pour cacher ses larmes et pour se persuader elle même que ça n’était que des perles d'eau glacées. Comme pour survivre..
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dimanche 25 mai 2014

  Tu coules lentement dans mes veines, tu me tues doucement. Chaque jour est une torture éphemere qui joue avec nes nerfs. C'est une guerre contre moi. Une guerre contre toi, démence. Je suis folle, folle à hurler. Je lutte vailement comme un guerrier vaillant. Je suis de plus en plus faible, décharnée comme une poupée désarticulée. Tu gagnes, on arrive au bout, mes limites s'arretent là. Empare toi de moi, corps et âme. Je m'oublierai dans l'abîme de ton cœur inexistant.
textes de jillian coadou
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Viens à moi. Aspires ma douce âme, arraches moi le coeur. Je t'en prie. Aimer fait trop souffrir. Mon amour éternel s'emble s'être envolé. Je ne veux plus rien ressentir. Hormis la haine et la colère, prends tout. Détruits moi, anéanties moi au point ou je ne peux plus rien ressentir. Achèves moi. Tues les sentiments. Tues moi. Emportes moi dans la haine. Raye le mot "Amour" de mon vocabulaire. L'aimer sans mesure, le perdre d'une raison insuffisante, ca fait trop mal. 
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vendredi 23 mai 2014

Elle marchait doucement, les pieds dans l'écume des vagues s'échouant sur la plage. Ce silence, cet air pur l'appaisait. Cette sérénité se lisait sur son visage. Ces doux yeux bleus se perdaient dans le paysage et un léger vent lui fouettait le visage. On pouvait l'entendre fredonner un air de musique, elle paraissait mélancolique, nostalgique du temps d'avant. On voyait ses yeux se mouiller et ses larmes couler. Toutes ces larmes montraient ce qu'elle ne pouvait dire. Et plus elle avancait, plus les larmes se multipliaient. Et finalement, épuisée d'avoir tant pleurée, elle s'asseyait sur le bord de la plage. Elle attendait que la nuit tombe, les yeux fermée, elle rêvait que la mer l'emportait et l'emmenait loin d'ici pour ne jamais revenir.
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Rappelles toi. Toi qui d'un mot doux, peut me charmer. Toi qui comble mon cœur de ton amour dépassant les cieux. Tu es devenu ma vie, ma plus grande fierté. Un amour possédé d'une divine tendresse, sans l'ombre de paresse. Nos deux coeurs battent a l'unisson épris d'une sublime passion. Si je venais à te perdre, ce serait perdre mon veritable amour..
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mercredi 21 mai 2014

Mon dernier soupir sera dans tes bras. Mon dernier baiser te sera destiné. Mes dernieres paroles te seront dédiées. Mes dernieres pensées se tourneront vers toi. Tu es la raison de mon sourire et de chacun de mes éclats de rire, mon avenir et mes futurs plus beaux souvenirs. Tu es l'être le plus parfait qui puisse exister. Je t'aime d'une puissance qui me depasse. Je suis désolée de t'enerver à ce point, mais l'important c'est que je ne vois que par toi, je ne peux plus imaginer un avenir ou ta présence aurait disparu. J'ai besoin de toi comme d'air pour respirer. Je peux souffrir sans le dire et verser des larmes dans ton ignorance si l'ombre d'un sourire se dessine sur ton parfait visage. Je peux m'oublier afin de te garder a mes cotés. Je pourrais tout faire rien qu'en entendant ton prénom. Il fait tressaillir mon coeur, magnifique comme il est. Je t'aime toi et pas un autre.

textes de jillian coadou
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Retrouvé et déjà oublié. Je me dis que ce n'est pas bien grave. Le temps pansera ma blessure. Je n'oublie pas, je n'oublie rien mais j'apprendrais juste à vivre avec la douleur de nos erreurs. Tu l'ignores mais tout ça me détruit, notre amitié fragilisée par ce temps ou nous étions séparés est malheureusement terminée. C'est douloureux car les souvenirs persistent. Tout ca fait tellement mal.. Je ne vais pas m'effondrer, tu as fais ton choix, je vais le respecter. Je suis tellement désolée..
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mardi 20 mai 2014


Comprends tu cette douleur qui brise mon coeur quand tes mots me parviennent a l'oreille ? Non, bien sur. Rien ne t'atteind. Tu ne connais que la souffrance, tu es né et a vécu dans la pure haine. Haine que tu transmets lentement dans mon coeur sans rancoeur. Tu prends plaisir à me detruire interieurement. Je vis à travers la souffrance, la peur et cette haine. A chaque heure qui defile, je suis un peu plus frele. Mon coeur sera bientot vide d'amour et remplis de haine. Tu aura gagner, je serais morte interieurement. Tuée par ta haine, tuée sans pitié.
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lundi 19 mai 2014

Est ce l'extreme puissance des mes sentiments qui te fais partir ou bien mes profondes blessures qui ne parviennent plus à guérir ?La réponse m'échappe quoi que je fasse. Ne m'ignore plus, j'ai besoin de toi. Je ne peux pas te promettre de ne plus verser de larmes, je peux juste te promettre de t'aimer d'une douceur qui berce mon coeur pourtant brisé. Je peux juste t'aimer de tout mon être. Et ça, pour toujours.

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dimanche 18 mai 2014

Les doux flocons de neige effleurent ton parfait visage. Le bonheur semble s'emparer de toi sous cette pluie étoilée. Tu souris ; les yeux émerveillées, tu graves le moindre détail de ce moment incroyable ou la magie domine pour ne jamais l'oublier. Rien qu'un instant, tu retrouves l'insouciance de ton enfance. Ce bonheur à l'état pur souligne la beauté de ton âme innocente et la sincerité de tes timides éclats de rire.
textes de jillian coadou
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Si tu savais ! Je me sens si seule. Je me sens vide et je me noie dans mes propres larmes. C'est comme si.. Tu sais, je suis invisible comme effacée. Les jours passent et mon souffle se fait de plus en plus court. Epuisée. Les jours sont identiques à se confondre.. Je ne discerne plus vraiment la réalité du fictif. Je tiens tellement à toi, toi qui m'écoute. Toi qui me soutiens quand je ne vais pas bien. Toi qui m'aide à me relever quand je tombe. Toi qui essuies mes larmes.. Je te remercie. Tellement..
Je t'aime tellement, tu es comme une drogue dont je ne peux me passée. Mon passé, mon présent et mon avenir

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